réal. jodie foster, int. mel gibson, jodie foster, anton yelchin. 2010, 91'. 2,5 pouces.
le synopsis
walter (gibson) trouve un moyen de surmonter sa grave dépression grâce à une marionnette de castor, trouvée un soir par hasard, qu'il porte au bout de son bras et qu'il laisse s'exprimer à sa place.
l'avis
drame traité sur un mode "léger" sur le thème "comment une famille brisée cherche le moyen de s'en sortir". déprimant. et bizarre. difficile d'éprouver une quelconque empathie pour ce personnage ou de se sentir concerné par cette histoire un peu étrange, ni drôle ni triste et, au fond, pas très intéressante. s'adresse essentiellement aux gens qui ont vécu la dépression et qui donc peuvent comprendre ce que traverse le personnage qu'interprète gibson (qui, by the way, «fait son gibson»). dans le rôle du fils en conflit avec son père (mais ça finira par s'arranger, c'est un film américain), anton yelchin, qu'on a vu dans star trek et terminator renaissance, et qui tire bien son épingle du jeu.